En dépit du lancement officiel de la rentrée scolaire ce lundi 2 septembre par Raissa Malu, ministre en charge de l’Education nationale , les enseignants du secteurs public ont observé une grève sur toute l’étendu du territoire national.
A en croire le Syndicat des Enseignants du Congo( SYECO) , les professionnels de la craie blanche dénoncent l’absence d’une réponse favorable du gouvernement face à leurs revendications.
Pour rappel , les enseignants et personnel de l’Education avaient fixé un ultimatum au gouvernement d’améliorer leurs conditions de vie en fixant un salaire minimum de 500$ américains soit 1.500.000 francs congolais.
A cela s’ajoute la mécanisation des enseignants non identifiés , la mise en place d’une retraite honorable par la sécurité sociale pour tout enseignant, les paiement de primes pour les inspecteurs ainsi que la suppression des zones salariale qui créeraient des inégalités de traitement des enseignants dans différentes régions du pays.
Lors de la dernière commission paritaire, le gouvernement avait pour sa part reçu toutes ces revendications avec la promesse d’en tenir compte.
De suite, il s’est engagé dans un premier temps d’ajouter une sommes de 50.000 francs congolais à chaque enseignant avant la rentrée scolaire 2024-2025, chose qui n’a pas été faite.
T.D