Les filles de joie traversent un moment fort ces derniers temps à cause de la pandémie à coronavirus. C’est ainsi qu’elles ont saisi le gouvernement à travers leur syndicat. Tel est ce que révèle le site web Doing Buzz de 02 mai 2020.
Comme toute activité, d’après la source, celle des prostituées est arrêtée ou du moins considérablement ralentie depuis le déclenchement de la pandémie et l’obligation de confinement. Par ailleurs, le couvre-feu allant de 21h à 5h le matin sur étendue du territoire ne leur facilite plus la tâche, étant donné la mesure gouvernementale paralyse « les vraies heures du sexe business ».
« Avec ce virus mortel, même les clients les plus fidèles ont pris du recul, car leur travail demande un contact rapproché, mais les consignes gouvernementales aux gestes barrières leur posent un préjudice énorme »
C’est pour quoi, elles demandent, que leurs difficultés soient portées à la connaissance des pouvoirs publics et, d’autre part, que le gouvernement pense aussi à leur situation car « c’est aux heures décisives entre 02h et 03h du matin que ça donne fort même », a conclu l’auteur de l’article.